Newslettre gratuite S'inscrire | Se désinscrire
Archive
Spectacle Vivant Autre - Spectacle
PAYSAGE APRÈS L’ORAGE
PAYSAGE APRÈS L’ORAGE
LE MAILLON: SAISON 2008/ 2009
© © François-Xavier Tourot
Date
Contact
Cliquez
ici
http://www.le-maillon.com
http://www.le-maillon.com
Horaires, dates et informations particulières
MER 15 JEU 16 VEN 17 AVRIL / 20 H 30
Lieu
Pôle Sud,
rue de Bourgogne, à Strasbourg
Afficher les manifestations organisées dans ce lieu
rue de Bourgogne, à Strasbourg
Afficher les manifestations organisées dans ce lieu
Tarifs
De 5,50 à : 17.00 €
Description
DANSE, MUSIQUE / FRANCE, HONGRIE
Le paysage dont il est ici question n’est ni une abstraction ni une généralité. Il s’agit d’un paysage existant, à quelques kilomètres de Kanjiza, ville natale de Josef Nadj en Vojvodine (Yougoslavie), à deux pas des frontières
hongroise et roumaine.
À Kanjiza, dès l’enfance, Josef Nadj dessine, pratique la lutte, l’accordéon, le football, les échecs et se destine à la peinture. Après quoi, il part pour Budapest s’initier à l’expression corporelle et au jeu d’acteur. Depuis 1995, il dirige le Centre Chorégraphique National d’Orléans.
Paysage après l’orage est un autoportrait de l’artiste, une recherche sur l’origine, un retour à la source avec, pour seuls compagnons, une toile (à peindre), une vidéo (en écho) et deux musiciens (qui composent) : Akosh Szelevényi, hongrois, plutôt jazz mais surtout un curieux, un inventif, un touche-à-tout et Gildas Etevenard, percussionniste,
plutôt jazz aussi, compagnon de route d’Akosh Szelevényi. Le point de départ, c’est l’idée du paysage, de ce paysage précis de Kanjiza, comme « scène primitive », c’est-à-dire comme lieu où s’enracine le mouvement. Paysage après l’orage est, en quelque sorte, « l’esprit du lieu ».
C’est l’écho et la réverbération par le dessin, le mouvement et le son, d’une expérience qui relève d’une nécessité intérieure – l’expérience intime d’un retour aux sources. Mais c’est aussi un paysage : évocation d’un décor naturel dans tous ses états multiple, visuel et sonore, qui se compose et se décompose sur la scène tout en y inscrivant ses traces : un coin perdu de Pannonie – cette vaste plaine qui fut une mer et dont le lac Balaton serait « l’empreinte » liquide.
Coproduction : Centre Chorégraphique National d’Orléans / Festival d’Avignon / Emilia Romagna teatro
Fondazione (Modena), avec le soutien de la Région Centre
Le CCN d’Orléans est subventionné par le Ministère de la Culture et de la Communication – Direction
de la Musique, de la Danse, du Théâtre et des Spectacles, la DRAC Centre, la Ville d’Orléans, le Conseil
Régional du Centre, le Conseil Général du Loiret. Il reçoit l’aide de CulturesFrance (Ministère des Affaires
Etrangères et Européennes) pour ses tournées à l'étranger
Création de Last landscape : Festival d’Avignon, le 11 juillet 2005. Une première étape a été présentée
le 13 avril 2004 à Nevers, à la suite d’une commande de D’jazz à Nevers.
Création de Paysage après l'orage, le 12 décembre 2006 au Théâtre de Garonne à Toulouse
CENTRE CHORÉGRAPHIQUE NATIONAL D’ORLÉANS
UNE CRÉATION DE JOSEF NADJ POUR UN DANSEUR ET DEUX MUSICIENS
PRÉSENTÉE PAR LE-MAILLON ET PÔLE SUD
Le paysage dont il est ici question n’est ni une abstraction ni une généralité. Il s’agit d’un paysage existant, à quelques kilomètres de Kanjiza, ville natale de Josef Nadj en Vojvodine (Yougoslavie), à deux pas des frontières
hongroise et roumaine.
À Kanjiza, dès l’enfance, Josef Nadj dessine, pratique la lutte, l’accordéon, le football, les échecs et se destine à la peinture. Après quoi, il part pour Budapest s’initier à l’expression corporelle et au jeu d’acteur. Depuis 1995, il dirige le Centre Chorégraphique National d’Orléans.
Paysage après l’orage est un autoportrait de l’artiste, une recherche sur l’origine, un retour à la source avec, pour seuls compagnons, une toile (à peindre), une vidéo (en écho) et deux musiciens (qui composent) : Akosh Szelevényi, hongrois, plutôt jazz mais surtout un curieux, un inventif, un touche-à-tout et Gildas Etevenard, percussionniste,
plutôt jazz aussi, compagnon de route d’Akosh Szelevényi. Le point de départ, c’est l’idée du paysage, de ce paysage précis de Kanjiza, comme « scène primitive », c’est-à-dire comme lieu où s’enracine le mouvement. Paysage après l’orage est, en quelque sorte, « l’esprit du lieu ».
C’est l’écho et la réverbération par le dessin, le mouvement et le son, d’une expérience qui relève d’une nécessité intérieure – l’expérience intime d’un retour aux sources. Mais c’est aussi un paysage : évocation d’un décor naturel dans tous ses états multiple, visuel et sonore, qui se compose et se décompose sur la scène tout en y inscrivant ses traces : un coin perdu de Pannonie – cette vaste plaine qui fut une mer et dont le lac Balaton serait « l’empreinte » liquide.
Coproduction : Centre Chorégraphique National d’Orléans / Festival d’Avignon / Emilia Romagna teatro
Fondazione (Modena), avec le soutien de la Région Centre
Le CCN d’Orléans est subventionné par le Ministère de la Culture et de la Communication – Direction
de la Musique, de la Danse, du Théâtre et des Spectacles, la DRAC Centre, la Ville d’Orléans, le Conseil
Régional du Centre, le Conseil Général du Loiret. Il reçoit l’aide de CulturesFrance (Ministère des Affaires
Etrangères et Européennes) pour ses tournées à l'étranger
Création de Last landscape : Festival d’Avignon, le 11 juillet 2005. Une première étape a été présentée
le 13 avril 2004 à Nevers, à la suite d’une commande de D’jazz à Nevers.
Création de Paysage après l'orage, le 12 décembre 2006 au Théâtre de Garonne à Toulouse
CENTRE CHORÉGRAPHIQUE NATIONAL D’ORLÉANS
UNE CRÉATION DE JOSEF NADJ POUR UN DANSEUR ET DEUX MUSICIENS
PRÉSENTÉE PAR LE-MAILLON ET PÔLE SUD
Grace au soutien de :
